La technique bioprogressive de R.M. Ricketts désigne un concept global élaboré à la fin des années 1950.Diffusé en Europe en 1965 par C.F. Gugino, elle est relayée en France par J. Philippe et son équipe,
E.H. Angle a créé plusieurs types d’appareils ; ils sont tous réalisés en or platiné. Appareils de grande précision, ils exigent tous un long apprentissage avant de pouvoir être utilisés avec succès. De nombreuses
Les gouttières constituent un excellent moyen d'ancrage. Leurs emplois se bornent cependant à quelques cas précis. Elles sont indiquées: Quand les dents ne permettent pas de prendre sur elles de bons points d'appuis par
Ceux-ci se retrouvent dans le commerce sous différentes formes, du simple chalumeau aux appareils très perfectionnés. Les soudeuses simples suffisent pour souder arcs et brackets, mais ils ne sont pas efficaces pour des bandes
Cette trousse comporte quatre forets et un injecteur, permettant la désinclusion des canines. Les forets permettent de créer une encoche de rétention. Le ressort de Philippot préfabriqué y est introduit passivement par l’injecteur puis activé pour la traction de
Ce dispositif comporte une partie intra-buccale (plaque palatine) et une partie extra-buccale. La fourche est mise la nuit et accrochée à un élastique qui la tire en glissant derrière le crâne ou la nuque.
Michel Chateau est sans doute la figure dominante de l’orthodontie dans la seconde moitié du 20e siècle. Il présida la SFODF de 1977 à 1979, et fût par la suite nommé Président d’honneur. Il
Le Bioactivateur de J. Dahan se base sur deux appareils : le Bionator de Balters et l’activateur d’Andresen-Haupl. Le Bioactivateur n'est pas seulement un appareil. Il répond à une philosophie et son succès implique
Il existe quatre types de plaques à cerceau fonctionnel de Chateau présentant une action bimaxillaire, qui sont amovibles : - un des deux étages (maxillaire ou mandibulaire) est formé par un arc épais et
L’équiplan, ou plan d’équilibre de P. Planas, est une plaque en acier de 0,4 mm d’épaisseur de diamètre qui s’étend horizontalement entre les incisives maxillaires et mandibulaires. Ces dents subissent une force égale (d’où l’équilibre)
