Dans le cadre des traitements d’orthopédie dento-faciale, la prise en charge de la dyspraxie linguale, des troubles associés permet de réduire le temps de traitement et d’éviter la récidive orthodontique.

Qu’une dent soit incluse, ankylosée ou présentant un défaut primaire d’éruption, sa mise en place sur l’arcade est toujours un défi pour l’orthodontiste.

La 1ère molaire reste la dent la plus fréquemment atteinte, de par son éruption précoce ainsi que de sa situation au niveau de l’arcade.

Le diagnostic et la correction des classes III est enjeu majeur dans le quotidien des orthodontistes. Appréhender la dynamique mandibulaire est la clé pour comprendre l’orientation pathologique du plan d’occlusion générant une perte de proprioception antérieure responsable d’un hypodéveloppement du prémaxillaire.

Dès l’adolescence la demande en appareil esthétique est réelle. L’étude de la particularité du système lingual et de son adaptation à une patientelle jeune vous permettra une pratique sans stress.

La réduction amélaire proximale a été mise en avant par Sheridan et Zachrisson, dans les années 1980. Actuellement, elle connaît un renouveau et un intérêt clinique grandissants.

Réaliser le défi pour l’orthodontiste de la transition numérique. Maîtrise de l’outil ou traîtrise : logiciel clef en main versus simplification commerciale...