La 1ère molaire reste la dent la plus fréquemment atteinte, de par son éruption précoce ainsi que de sa situation au niveau de l’arcade. Le pédodontiste rencontre parfois certaines difficultés à sa conservation. L’orthodontie devient alors une alternative au rétablissement de la continuité de l’arcade.  L’extraction précoce permet un mésialage spontané des 2èmes et 3èmes molaires avec nécessité d’un redressement et d’un aménagement occlusal.

La réduction amélaire proximale a été mise en avant par Sheridan et Zachrisson, dans les années 1980. Actuellement, elle connaît un renouveau et un intérêt clinique grandissants.

Le flux numérique a été une révolution pour notre pratique orthodontique. Actuellement, il connaît lui-même une révolution puisqu’il peut être intégré dans les cabinets : les logiciels de conception sont devenus abordables, conviviaux et faciles d’utilisation, et les systèmes de production sont également devenus accessibles grâce à une simplification des imprimantes 3D. Mais posséder la technologie n’en donne pas la maîtrise.

Cours théorique, pas de pratique • Diagnostic morphologique et étiologique des dysmorphies transversales dento-faciales. • Gestion du quadhelix, choix des disjoncteurs, concepts de la distraction symphysaire. • Protocoles d’éducation fonctionnelle.

Cours théorique, pas de pratique Évolution de la contention sur les 40 dernières années. Critères de finition au travers de trois périodes d’âges. La gestion des fameuses 3es molaires. Protocole pratique de mise en place de contentions collées.

• Qu’est ce que le syndrome d’apnées obstructives du sommeil pédiatrique ? Quelles sont les répercussions cliniques spécifiques chez l’enfant ?

• Bref historique, évolution des pratiques et principes biomécaniques. • Analyses diagnostiques et pronostiques, critères décisionnels. • Exposition de protocoles biomécaniques basés sur le tripod orthodontique classique : centrage de l’incisive mandibulaire contrôle du plan d’occlusion-exposition de l’incisive maxillaire.

Dans l’aviation, 70% des accidents étant dus à des erreurs humaines, on se félicite tous, en tant qu’usagers, du haut niveau de formation des équipes navigantes aux facteurs humains (FH).